10 histoires de chats particulièrement touchantes racontées par leurs maîtresses

Brianne Willis est une New-yorkaise qui a lancé un projet de photos à travers lequel elle met en scène de jeunes maitresses avec leurs chats. La photographe permet à ces femmes de raconter les histoires émouvantes de l'adoption de leurs félins. Depuis 2 ans, ce projet a donné la parole à de très nombreuses personnes qui ont conquis le cœur de nombreux followers.

Voici 10 photos de jeunes maîtresses de chats qui partagent leurs histoires.

1. Chelsea Trout

« Après des années et des années passées à accueillir des chats et à souffrir en les voyant partir, j’ai hébergé Alipha et Reed. Je me donnais pour mission de redonner aux félins toute leur santé avant de les remettre à l’adoption. Tandis qu’Alipha semblait garder ses habitudes, retirée et indépendante, Reed et moi commencions à tisser des liens très forts. Jusqu’au jour où j’ai compris que je ne pourrais pas m’en séparer et qu’il ne me restait plus qu’à l’adopter. »

2. Naomi Fry

« Roo est une chatte qui vit avec nous depuis qu'elle a un an. Notre fille avait aussi un an à l’époque, elles ont donc grandi ensemble et sont âgées de 6 ans à présent. Roo est un prénom qui est venu de l’imitation approximative que faisait notre fille du miaulement d’un chat. C’était sa manière de communiquer avec elle. Matilda, notre 2^e chatte, n’a pas toujours autant cherché à communiquer avec Roo. Les 2 chattes ont tendance à se crisper quand elles se croisent, mais leur curiosité les a amenées à se découvrir et à se rapprocher. »

3. Dinah Eke

« En me rendant au refuge animalier, je n’avais qu’une intention, c’était d’adopter un chat Bleu Russe pour qui j’avais eu un coup de cœur en voyant sa photo sur un site internet. Cependant, ce n’est pas lui qu’on m’a présenté en arrivant, mais un chat noir qui se méfiait beaucoup des humains car ces derniers ne l’avaient pas épargné par le passé. Il présentait une nature très hostile et était rejeté, ce qui arrive souvent aux chats noirs. Je ne comptais donc pas le vouer à l’euthanasie pour cela et l’ai adopté. Wolfie est devenu mon meilleur ami même s’il continue de refuser d’approcher d’autres humains. »

4. Christene Barberich

« La veille de chaque réveillon du Nouvel An, je me rends dans une chambre d’hôtel où je mets noir sur blanc mes accomplissements et mes échecs de l’année passée. Un sentiment de tristesse m’envahit en me remémorant mes tentatives ratées d’avoir un enfant. Sur le chemin du retour, je me suis arrêtée devant un refuge animalier, attirée par le chat que je venais de voir. Je m’étais décidée à l’adopter sans en discuter avec mon mari. Je l’ai appelé pour qu’il vienne nous chercher. On a insisté pour nous faire rencontrer un autre chat qui avait perdu une patte. Dans la pièce où se font les rencontres, nous avons aperçu une petite créature toute douce qui s’avançait vers nous. Elle a établi le contact avec nous, par le regard et par ses câlins. Mon mari et moi nous sommes regardés dans les yeux et nous savions que nous voulions l’adopter. Depuis ce jour, j'aime Phoebe et en prends soin tout en me déculpabilisant de ne pas avoir pu avoir d’enfant. »

5. Simone Thompson

« Nigel est un chat qui est apparu dans ma vie il y a de cela quelques années. Ma compagne l’avait adopté. Il avait été opéré de la tête qu’il gardait penchée en permanence depuis. Sa personnalité était troublée et agitée, ce qui n’arrangeait pas ma relation avec lui. Cette situation devenait une source de conflits entre ma compagne et moi. Après un déménagement, le chat a très bien vécu le changement et a tout de suite cessé d’être agressif avec moi. C’est devenu le compagnon qu’il me fallait pour regarder la télé et débattre de la vie. »

6. Alexandra King

« Au refuge animalier, personne ne voulait adopter Lois et Maxine, car elles ne semblaient pas très normales. Atteintes d’hypoplasie cérébelleuse, les chattes souffrent de troubles moteurs et paraissent tituber en permanence. Cette allure a tendance à repousser les futurs propriétaires et à vouer de nombreux chatons à l’euthanasie car on pense qu’ils ne peuvent pas grandir. Ce qui est faux, car cette maladie n’évolue pas. Mes félins ont terminé leur croissance et sont tout ce qu’il y a de plus adorable. Mon mari et moi sommes très heureux de les avoir et encourageons tous les efforts que font les refuges animaliers qui font des chats atteints d’hypoplasie cérébelleuse leur priorité. »

7. Alvina Bokhari

« J’ai rencontré mon chat October alors qu’il se trouvait dans la rue, dans une boîte en carton. Je n’avais jamais vécu avec un chat auparavant et il était le premier à me faire cet honneur. C’est devenu mon compagnon favori. De plus, nous avons beaucoup en commun, à commencer par nos siestes qui sont réglées comme une horloge. »

8. Athena Wisotsky

« Je n’avais jamais adopté de chat, mais en avais toujours voulu un. Lorsque ma mère nous a quittés, il y a un mois de cela, j’ai dû héberger ses 5 chats. Mon compagnon, qui n’appréciait que modérément les chats, les a tout de suite pris en affection. Parmi eux, on ne savait pas encore qu’on garderait Frikki après avoir trouvé des familles d’adoption pour les 4 autres. Il est devenu mon premier adopté et je suis très heureuse d'avoir pu garder quelque chose de ma mère. »

9. Maggie Freleng

« J’ai toujours adopté des chats seniors dans les refuges animaliers et les voir partir très vite n'est jamais facile. J’ai donc décidé d’adopter un chaton. En me rendant au refuge, j’ai été émue de rencontrer un chat aveugle et ne pouvais me résoudre à partir sans lui. Depuis, Bandit partage mon quotidien et je suis vraiment reconnaissante qu’on se soit rencontrés. Daisy, quant à elle, a commencé à vivre avec nous il y a de cela quelques années. On a rapidement découvert qu’elle était atteinte du virus de l’immunodéficience féline. Elle reçoit tous les soins dont elle a besoin et son état de santé s’améliore. Bandit et Daisy ont tout l’amour qu’ils méritent et font mon bonheur. »

10. Jesse Peterson

« Oscar est un chat qu’on qualifie de géant, une stature qui lui cause des troubles au niveau des os. Il a commencé à avoir du mal à marcher et a été diagnostiqué avec une luxation de la rotule. Un vétérinaire dans ma famille m’a assuré qu’il avait l’habitude d’opérer ce genre de luxation et que cela se passait bien, en général. Oscar a malheureusement dû subir 4 interventions chirurgicales en un an. Ses complications lui ont valu un long séjour en clinique vétérinaire et il était devenu le patient préféré du personnel soignant. Son calvaire a pris fin au bout de sa dernière intervention et il a pu retrouver sa santé, un soulagement qu’on attendait tant. »