Confrontée à un ultimatum, une femme est amenée à choisir entre son conjoint et son chien

Pour cet homme, indiquait The Sun, il était impossible d’imaginer un quotidien avec un chien. Lorsque les choses se sont concrétisées avec sa compagne, il a souhaité lui faire part de sa vision des choses. Un désaccord profond a été soulevé, menant à repenser la décision de vivre à deux.

« J’ai trouvé l’homme de mes rêves, mais il me force à prendre une décision impossible »

La propriétaire du chien confiait être heureuse dans son couple en affirmant : « J’ai trouvé l’homme de mes rêves, mais il me force à prendre une décision impossible ». En effet, elle indiquait un peu plus tôt : « Notre relation est désormais très forte et nous avons l’impression qu’il est temps d’emménager ensemble ».

La configuration des choses a fait que le choix du lieu de vie commun s’est porté sur la maison de la quinquagénaire, son conjoint résidant en appartement. Mère d’un jeune garçon de 19 ans, l’idée était de former une famille recomposée, sans oublier le chien du foyer.

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Une impossibilité catégorique

Selon la propriétaire du chien, aucune négociation n’était envisageable. Son compagnon n’appréciait pas les chiens et ne pouvait pas franchir cette barrière du rejet. L’idée d’habiter aux côtés d’un jeune garçon n’était pas non plus une chose facile à envisager de son côté.

Lorsque son compagnon lui a proposé de « reloger » son chien, la propriétaire est tombée des nues. Pour elle, il était hors de question de faire une croix sur cette relation unique avec son animal. Elle confiait à ce moment-là : « Je crois qu’un animal de compagnie, c’est pour la vie. J’aime mon chien ».

« Aucun de nous ne changera d’avis »

D’un côté comme de l’autre, un compromis était impossible. La propriétaire du chien refusait de se séparer de son chien pour répondre à la demande de son compagnon, et ce dernier n’était pas disposé à faire un effort en ce sens. « Nous continuons de tourner en rond », affirmait la femme du couple, qui a finalement pris la décision de ne plus emménager avec son compagnon, préférant préserver son quotidien avec son chien. Revenu en arrière, il n’est plus question pour le couple d’habiter ensemble.