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La propriétaire d'un chien diabétique formule des demandes surréalistes à une pet sitter payée 50 centimes de l'heure !

La propriétaire de ce chien diabétique a fait une liste si aberrante de règles à sa pet sitter qu’elle l’a fait fuir avant même d’avoir commencé le travail !

Illustration : "La propriétaire d'un chien diabétique formule des demandes surréalistes à une pet sitter payée 50 centimes de l'heure ! "

Lorsqu’un propriétaire confie son animal à un pet sitter, on peut comprendre qu’il ait quelques exigences. Mais les attentes et les manières de Claudia étaient surréalistes ! D’autant plus que le salaire offert était très léger.

“Avant que nous allions plus loin dans la réservation, je veux être sûre que certaines choses soient très claires”

La pet sitter qui a reçu les demandes incroyables de Claudia a partagé leurs échanges de textos sur les réseaux sociaux. Dès le troisième message, Claudia écrit “Avant que nous allions plus loin dans la réservation, je veux être sûre que certaines choses soient très claires”, comme le rapporte le Daily Mail. Dès lors, commence une liste de 6 règles surréalistes et très strictes. La première concernait l’argent “Je vous paierai 108 euros pour vos services. C’est non négociable. Vous êtes là pour vous assurer que Junie est nourrie, abreuvée et médicamentée. C’est un prix honnête.

Illustration de l'article : La propriétaire d'un chien diabétique formule des demandes surréalistes à une pet sitter payée 50 centimes de l'heure !

© Ladykryptonitex / Imgur

Étant donné que Claudia attendait une surveillance 24h/24 pendant 9 jours, cela revenait à un tarif de 50 centimes de l’heure. En ce qui concerne les médicaments, il s’agissait de surveiller la glycémie de la chienne diabétique et de lui faire des injections d’insuline.

De l’exigence et de la surveillance

La règle numéro 2 était d’être présente 90% du temps. La règle numéro 3 était que s’il arrivait une urgence à Junie, la pet sitter devait prendre les frais à sa charge.

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© Ladykryptonitex / Imgur

La règle numéro 4 prévennait la pet sitter qu’elle serait sous constante surveillance des caméras, et était formulée comme une menace : “4. Oui, nous avons des caméras, et les surveillons fréquemment. Pas d’amis, de fêtes, ou quoi que ce soit de ce genre.

La règle numéro 5 exigeait que le téléphone de la pet sitter ne soit pas en mode silencieux. “Je ne peux pas vous dire à quel point je suis anxieuse quand j’appelle pour vérifier que ma chienne va bien et qu’on ne me répond pas”. Enfin, le paiement n’était pas garanti à la fin puisqu’il était soumis à conditions “ Et finalement règle numéro 6. Vous serez payée approximativement 24 heures après que je serai rentrée. Je vais m’assurer que Junie ne montre aucun signe d’anxiété avant de faire le chèque. Me suis-je bien fait comprendre ?

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Claudia n’a pas apprécié le refus de ses demandes

Face à une telle exigence, la pet sitter a renoncé à cette mission et a poliment dit à Claudia qu’elle n’était pas capable de satisfaire toutes ses demandes. Ce à quoi la propriétaire fâchée a répondu avec dédain “Dites-moi, quelle partie est trop dure pour vous ?”. Suite à la réponse de la pet sitter, Claudia a conclu “de toute évidence vous n’avez pas tant besoin que ça d’argent”.

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Heureusement, après cette mésaventure, la pet sitter a reçu beaucoup de soutien sur les réseaux sociaux !